Parad
is0/Compañía Octubre (Seville), LaboratorioSLD
(Paris) , Collective Patch Work (Toulouse) et CodaNorma (Toulouse).
Parad
is0 Argument / appareil gestuel et chorégraphique de Salud López
Installations
: Mathilde Murat, Golnaz Behrouznia, Claire Sauvaget, Etienne Rey,
Lluis Gomez, Isabel Valverde, Marce-Lí, Antunez, Antonio José
Flores.
Paradis/ Canto 1
Dédié
à James Joyce, le dispositif "La machine" est une
structure qui fonctionne avec l'apport, on pourrait dire,
énergétique, du mécanisme « compositionnel » du premier chant du
Paradis de
la Divine Comédie
de Dante (
numérotation à laquelle on fait référence dans les paragraphes
en relation directe avec les lignes du poème) est le point de départ
du montage qui montre les différentes pièces et éléments de
l'ensemble des œuvres présentées.
En
suivant le principe de l'analogie comme argumentation.
Appareil
locomoteur, on s'y déplace comme dans une promenade... appareil
circulatoire, fluide en fil continu, sans ruptures. “Mouvement
perpétuel où le hasard se trouve là où le temps est suspendu”.
Communication
et transvasement d' information continue entre le scénario et le
public. Il y a un fil conducteur qui réunit les différentes parties
et ne s'arrête
jamais
comme une course de relais de la danse à la musique, de la lumière
à la vidéo et au public.
Colaboración con la Agencia Andaluza de Instituciones Culturales de la Junta de Andalucía, para la creación de la obra “Paraíso”-"Parad is o , no hay billetes. |
L'association patch_work arts émergents n'est pas engagée dans ce projet, merci de bien vouloir retirer tout visuel appartenant aux artistes de cette association, ainsi que tout information erronée concernant cette collaboration (qui n'a pas eu lieu), et ce de façon définitive.
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