Sinopsis | ||||
¡Artilugio!/Así se explica Parad is0. Este texto se presentó en una sesión de trabajo abierta al público interesado http://www.zemos98.org/imascas/spip.php?article43, donde se mostró cómo se construye una nueva obra coreo telemática, o si quieren de baile ficción de Salud López junto a otros colaboradores, incluso de cómo pueden ellos, el público, ser, y son, parte del constructo y el objeto: Esta nueva obra quiere manifestarse como un artefacto capaz de desarrollar, evolucionar, transmutar capacidades, finalmente trashumanar nuestro ser en suma, gracias al dialogo gestual complejo entre la manera de pensar de una persona y la de un ordenador. Si los transhumanistas hablan de un nuevo humano, que rompe por fin con la norma de las teorías evolutivas, ¡la artimaña!, incluso superando a la propia muerte, lo dicen sin embargo dando una importancia y una confianza excesiva a la propia tecnología, ¡la trampa!, como si los progresos solo pudieran ya realizarse a fuerza de chips. Lo que proponemos, es la fé todavía en la propia entelequía humana de crecer anímica y biológicamente, superando incluso la propia dependencia a la tecnología, estas capacidades propias que aun no hemos desarrollado y que permanecen ocultas en devenir. ¡Ardid!, no es con la tecnología sino a través y por la gracia de ella. Desde una necesaria apertura a la percepción, hasta una reconsideración de la memoria no como dispositivos estancos, sino instalada o que vive en el propio proceso de comunicación y la superación de las barreras conscientes entre las cosas, los propios individuos, los individuos y la naturaleza, el espacio y el tiempo, como si no fueran lo mismo. Sirva de ejemplo lo que acontece en la obra Solaris, el esfuerzo sobrehumano por querer comunicarse con otro ente diferente y desconocido, nos devuelve como un espejo nuevos conocimientos sobre nosotros mismos, que al mismo tiempo cambian nuestras estructuras, y nuestro modo de operar, nuestro forma de ser y de existir. O como el oxímoron que relaciona a los contrarios, extraños de donde surgen nuevas posibilidades insospechadas de belleza. En definitiva el nuevo mundo requiere de nuevos paradigmas, exige nuevas definiciones de todo. Volver a plantear todos los constructos desde 0, este sería el objeto último, también de deseo. Esto es otra manera de empezar a hacerlo, el fin, pero que por algún sitio tenemos que empezar. El proceso de generación de esta obra, generará a su vez un lugar de creación, ya que se realizará en sesiones abiertas de trabajo como estas, transmitidas por internet, desde un taller habilitado. Ambos espacios el propio taller y las ondas tienen vocación de herramienta común y estará abierto a otros acontecimientos y experiencias. Algo parecido a lo que fueron los salones literarios y filosóficos en el siglo XIX desde donde el pensamiento era retransmitido como oleadas y mareas. | ||||
Synopsis | |||||
"Machinerie" / C'est ce qui explique Paradis. Ce texte a été présenté lors d'une session de travail ouverte au public au cours de laquelle nous avons montré http://www.zemos98.org/imascas/spip.php?article43, comment construire un nouveau travail chorégraphique et télématique, ou plutôt de danse - fiction de Salud López avec d'autres collaborateurs montrant comment le public peut être et faire partie de la construtions et de son objet. Cette nouvelle création veut apparaître comme un «dispositif» ou artefact capable de développer, de faire évoluer, de transmuter les capacités, enfin de transcender notre être, par le biais du dialogue gestuel complexe entre la façon de penser d’une personne et celle d'un ordinateur. Les transhumanistes parlent d'un nouvel être humain, rompant enfin avec les théories classiques de l'évolution, c’est pure tromperie niant même la mort même et accordant une importance et une confiance excessive à la technologie, erreur totale car les progrès peuvent –ils se réaliser a force de chips?. Ce que nous proposons est encore la foi en l’entéléchie humaine de grandir de plus en plus, au niveau mental et biologique pour surpasser même sa propre dépendance à la technologie. Ceci par le biais de capacités que nous n’avons pas encore développées et qui demeurent cachées, en devenir. L’artifice, n'est pas avec la technologie mais à travers et grâce à elle. A partir d’une ouverture nécessaire à la perception, jusqu’à un réexamen de la mémoire, non pas en tant que dispositifs étanche, mais installé ou qui vivent dans le processus même de la communication et surmonter les obstacles conscientes entre les choses, les individus eux-mêmes et les individus et de la nature, l'espace et le temps, comme si elles n'étaient pas les mêmes!. Un exemple est ce qui se passe dans l’oeuvre , “Solaris”, l'effort surhumain de vouloir communiquer avec un autre être différent et inconnu, nous renvoie comme un miroir de nouvelles connaissances sur nous-mêmes, tout en changeant nos structures et notre mode de fonctionnement, notre façon d'être et d’exister. Ou, comme l'oxymore qui relie les contraires, oppositions à partirdesquelles surgissent de nouvelles possibilités insoupçonnées de beauté. En bref, le nouveau monde requiert de nouveaux paradigmes, exige de nouvelles définitions de tout. Reformuler tous les concepts depuis l’origine, ce serait le but ultime et aussi l’ultime de désir. C'est une autre façon de commencer, car enfin nous devons bien commencer par quelque part. Le processus de gestation de ce travail, va générer à son tour un lieu de création qui se concrétisera dans des sessions ouvertes de travail, comme celles, transmises par Internet à partir d'un atelier habilité. Les deux espaces, l'atelier lui- même et les ondes ont une vocation d'outil commun. Il sera ouvert à d'autres événements et expériences. Quelque chose de semblable à ce qu’étaient les salons philosophiques et littéraires au dixneuvième siècle où la pensée était diffusée par vagues et marées.
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